Le Gua Sha apparaît dans les écritures chinoises il y a plus de 700 ans, mais c’est une pratique millénaire.
Il peut être considéré comme un massage bien-être, mais ses vertus, combinées à l'énergétique, tel que je le pratique, vont bien au-delà. Rééquilibrage énergétique, centrage, libération de mémoires émotionnelles. Le Gua Sha ou « gratter les vents » se pratique à l’aide d’un outil poli et doux en corne de buffle d’eau ou de jade, sur une peau préalablement huilée. Il apporte une détente musculaire libérant des tensions et des stases enkystées dans le corps, fluidifiant l’énergie. La pratique se concentre essentiellement sur le cou et le dos, peut s’étendre aux bras. Les pressions et passes sont faites en fonction de la personne. Le Gua Sha n’est pas douloureux. Comme le dit le chercheur et praticien Bruce Bentley « c’est complètement inutile et cela ruine la réputation de la technique elle-même ». Les lieux de tensions du corps vont réagir, et l’on va voir apparaître des rougeurs diffuses et parfois des petits points rouges foncés, le Sha, sur les zones de stases nécessitant d’être dissoutes. Cela correspond à des zones d’énergies stagnantes, de toxines accumulées, souvent génératrices d’inconfort et de douleurs, qui remontent à la surface de la peau stimulées par la pratique afin d’être évacuées. Ces réactions salutaires, qui sont le signe de libérations pour la personne, s’estompent rapidement en cours de séance voire dans les 24 heures. Après la séance l’on ressent une profonde détente, une meilleure mobilité et surtout une harmonisation centrée de son être. |
Contre-indications
Cette pratique ne se substitue en aucun cas à un suivi médical. |
Informations Pratiques Une séance dure 1 heure - 50 euros.
Possibilité de séance de 30 minutes - 28 euros. |